Genealexis

Histoires d'hier et d'aujourd'hui...

Revue de presse

Conférence de Quercy Généalogie

Aujourd'hui vendredi 4 mars, à 18 heures à la salle des fêtes de Lacave, Quercy Généalogie organise une conférence. Animée par Gérard Leblanc, elle aura pour thème « langue ou patois, quelle langue parler ». Entrée gratuite.

En savoir plus: http://www.ladepeche.fr

 

8 500 documents sur les ovnis publiés par les autorités

Depuis les années 1950, les autorités britanniques ont stocké photos et témoignages concernant la visite d'extra-terrestres. Et hier, ce sont 8 500 de ces documents confidentiels qui ont été déclassifiés et publiés sur le site des Archives nationales.

En savoir plus: http://www.ledauphine.com

 

Des ancêtres ingénieux

Nos ancêtres de l’époque de la Nouvelle-France étaient très ingénieux. Voilà ce que devaient prouver les élèves de 4e secondaire au programme d’éducation internationale de la polyvalente Saint-François de Beauceville. Pour ce faire, ils ont dû réaliser un objet respectant en tout point cette époque de notre histoire.

En savoir plus: http://www.editionbeauce.com

 

Temple d'Angkor

300000 pierres épartillées dans la jungle : voici ce qui restait en 1995 du temple du Baphûon, fleuron d'Angkor. Quinze ans plus tard, il a retrouvé toute sa splendeur ! Retour sur un chantier hors norme.

En savoir plus: Sciences et Vie n°1122, pages 90 à 97

 

Albert Leroy, Historien local

Impossible d'évoquer l'art et la culture dans le Montreuillois sans rappeler l'oeuvre d'Albert Leroy qui est historien local mais aussi peintre, écrivain et amateur de silex.

En savoir plus: http://www.lavoixdunord.fr

 

 

Marié à trois étaploises, le Montreuillois Joseph Perrault est à l'origine de la grande famille Perrault. Des membres qui ont pu se rencontrer lors d'un grand rassemblement qui a impliqué un peu plus de 400 participants.

Comme il fallait s'y attendre, l'exposition généalogique sur la famille Perrault, un nom très répandu à Etaples-sur-Mer, a connu une très belle affluence.

On est venu des quatre coins de l'arrondissement, parfois d'assez loin, pour glaner quelques renseignements sur des origines qui pouvaient remonter jusqu'au 17e Siècle.

Samedi, sur les coups de 11h30, Les Échos du Touquet-Le Journal d'Etaples avaient prévenu : il y aurait eu du monde autour de « l'a-Perrault ». De nombreux Etaplois étaient bien sûr présents, ayant répondu à l'invitation de Christine Agnès, la responsable du SIVU « Opal'Origine ». Une férue de généalogie qui a pu se rendre compte que son travail n'était pas vain. « Au total, nous avons pu compter sur la participation de 400 personnes dont certaines ont apporté des renseignements importants », explique Christine Agnès, avant de souligner, « Cette exposition n'a pas laissé insensibles certaines personnes qui ont versé quelques larmes en revoyant quelques ancêtres sur des photos jaunies. » On a hâte de se plonger dans une prochaine exposition généalogique.

(source : http://www.lereveildeberck.fr/ )

 

 

 

 

Les Archives départementales de Loire-Atlantique mettent en scène un procès exceptionnel qui se déroula pendant 12 jours dans l’ancien tribunal de Nantes. En mars 1931 furent jugés 14 habitants de Cayenne accusés d’avoir participé aux violences (six morts) qui avaient secoué Cayenne en 1928. Les avocats firent le procès de l’administration coloniale, et de la fraude électorale. Tous les accusés furent acquittés. L’exposition fait revivre le procès de façon spectaculaire et émouvante, avec de nombreux documents et objets d’époque, dont le banc des accusés (photo). Du 9 février au 26 juin aux Archives, 6, rue de Bouillé à Nantes. En avril se déroulera un colloque auquel participera l’historien André Bendjebbar, qui a retrouvé les pièces du procès. Le programme des animations et les horaires sont consultables sur le site du conseil général www.loire-atlantique.fr

Le banc des accusés

 

Pourquoi, les 6 et 7 août 1928, la population de Cayenne s'est-elle révoltée ? Comment deux femmes et douze hommes, de 27 à 68 ans, se sont-ils retrouvés accusés de meurtres et de pillage en bande devant la cour d'assises de Nantes en 1931 ? En 1928, la Guyane française hérite des bagnards et autres rejetés de la République. Elle subit aussi la tyrannie de trois hommes avides de pouvoir et d'argent : le maire de Cayenne, Eugène Gober ; le gouverneur de la colonie assujetti à Paris ; le député blanc Eugène Lautier, parachuté le temps de la campagne électorale. Miséreuse, la population reporte alors tous ses espoirs sur Jean Galmot. Cet entrepreneur humaniste, qui se bat depuis plusieurs années contre l'esclavage politique, pour l'égalité citoyenne et économique, se représente aux élections législatives. Mais les résultats du scrutin, truqués, donnent Lautier vainqueur. Le décès suspect de Galmot, quelques semaines après la validation des votes par la Chambre des députés, provoque un déferlement de violence à Cayenne. Six personnes sont lynchées par la foule et tuées. Révolte spontanée ou soulèvement organisé par un comité secret pour détruire les partisans de Gober et s'emparer du pouvoir ?

Un procès retentissant

Pour éviter de nouveaux heurts, le tribunal de Cayenne est dessaisi au profit de celui de Nantes, dans un souci d'impartialité. Fin septembre 1929, après une traversée de vingt jours, quarante-cinq personnes sont écrouées dans l'ancien port négrier. Pendant la détention provisoire, la presse locale donne une image très négative des quatorze inculpés finalement retenus : des êtres frustes aux mœurs débridées, à demi sauvages, extrémistes et violents. Au cours des douze jours d'audience, les avocats de la défense, dont Henry Torrès, Alexandre Fourny et Gaston Monnerville, vont faire prendre conscience aux jurés, mais aussi à la France entière, que les Guyanais n'étaient pas considérés comme des citoyens à part entière, mais de seconde zone. Dans une plaidoirie remarquée, Gaston Monnerville donne une orientation politique au procès en parlant d'esclavage et de colonialisme. L'acquittement est prononcé : les accusés étaient donc des boucs émissaires ; la Guyane, gangrenée par la fraude ; et les crimes, la conséquence du truquage des élections ! On reconnaît enfin les droits des colonisés. Le suffrage universel et les valeurs républicaines retrouvent enfin tout leur sens.

(source : Ouest France et France 5)

Les élèves ont planché sur la place des réfugiés de la guerre civile espagnole, dans l'Ain.

Dans le cadre d’un projet sur les mémoires des migrations dans la région Rhone-Alpes, deux classes de première du lycée Louis- Armand de Chambéry sont venues à Bourg-en-Bresse, vendredi, pour une journée d’information et de travail aux Archives départementales.

L’objectif est de réaliser un travail sur les réfugiés de la guerre civile espagnole. Cette journée a permis de montrer que la guerre civile, qui divisa l’Espagne entre 1936 et 1939, a été ressentie fortement en Région-Alpes et plus particulièrement dans l’Ain où 2 466 personnes avaient trouvé refuge.

La matinée fut consacrée à la visite des Archives départementales, puis à l’étude des conditions d’arrivée dans l’Ain des réfugiés espagnols.

L’après-midi était l’occasion de réaliser un travail plus approfondi sur le centre d’hébergement de Dortan. Puis les lycéens ont planché sur une étude sur l’implantation des réfugiés dans le département, principalement dans les communes bordant la voie ferrée.

 

(source : http://www.leprogres.fr/)

 

C'est un trésor qui va prochainement trouver refuge aux archives municipales (de Cognac). La Ville a en effet acquis, lors de la dernière séance du Conseil, le fonds photographique de Jacques Goguet. Soit des milliers de clichés, des milliers de tirages qui, tous, ont un point commun : Cognac. La vie de la cité, dans tous les domaines, sous tous ses aspects, grosso-modo, entre 1936 et le milieu des années 80. Un témoignage exceptionnel parce que fruit du travail - difficile d'écrire fruit de la passion parce qu'un peu lourdingue, mais sans doute plus juste - d'un homme sortant vraiment de l'ordinaire. Jacques Goguet était un immense photographe, l'égal des plus grands. En regardant ses photos, on songe souvent à Doisneau. Les deux hommes étaient de la même veine, du même âge aussi.

Reste que Goguet n'avait pas qu'une corde à son arc. S'il a vécu toute sa vie pour et grâce à la photographie, c'est bien parce qu'il l'a décidé ainsi. Il aurait fort bien pu faire carrière dans la peinture tant son talent était immense. On attend d'ailleurs le jour où Cognac va rendre hommage à ce pastelliste hors pair, à ce dessinateur fin et précis : dans ses cartons, sa fille Marie-Christine a de quoi mettre sur pied une superbe expo

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