Voici une photo de famille que je voulais partager avec vous depuis longtemps mais je ne n'en avais pas encore eu l’occasion.
Au second plan:
Accrochez vos ceintures c'est compliqué !
Mon arrière grand mère Madeleine FONTAINE (sosa n°13) ,que j'ai très bien connu puisqu'elle est décédée en 2010 à l'âge respectable de 96 ans, est debout à gauche. Elle est née le mercredi 23 septembre 1914 à Anzin (59). A ses côtés se trouve Kleber FIEVET (sosa n°12), qui pour ceux qui viennent souvent sur mon blog a été fait prisonnier en Allemagne pendant la deuxième guerre mondiale (relire l'article). Je n'ai pas eu la chance de le connaître mais ma mère qui l'a très bien connu se souvient d'un numéro tatoué sur son bras. Il a vu le jour le lundi 9 mai 1910 à Lille et est décédé le vendredi 4 septembre 1970 à Beuvrages (59). A côté de Kleber c'est mon arrière arrière grand père Henri Gustave FONTAINE (sosa n°26), le père de Madeleine FONTAINE (sosa n°13). Il est né le lundi 24 février 1890 à Anzin (59).
Assis au premier plan:
Mon arrière arrière arrière grand père Henri François FONTAINE (sosa n°52) , le père de Henri Gustave FONTAINE (sosa n°26), est assis devant. Il est né 8 juin 1857 à Valenciennes. Il exerçait la profession de mineur, ce qui ne l'empêche pas d'être élégant sur la photo. (hé hé hé)
Je ne possède pas la date de la photo. Cependant Kleber et Madeleine se sont mariés en 1934 aux âges respectifs de 24 et 20 ans, je daterai donc cette photo entre 1934 et 1939...
C'est peut-être courant de posséder ce genre de photo, mais j'ai tellement peu de photo de mes ancêtres que la moindre petite photo m’émerveille !
J'aimerai profiter de cet article pour faire une petite mise au point : Depuis quelques semaines, vous avez pu remarquer que je poste souvent des articles de presse issus divers journaux locaux. Mon intention n'est en aucun cas le plagiat (puisque j'indique mes sources) mais juste la centralisation des articles de presse, un peu comme si il s'agissait d'une revue de presse des articles de généalogie.
Du 19 janvier au 24 avril 2011, est présentée à l’hôtel de Soubise à Paris (3e), l’exposition "Dans l’atelier des Menus Plaisirs du roi". Une sélection de 130 œuvres graphiques, pour la plupart inédites, essentiellement issues du fonds de la Maison du roi aux Archives nationales, introduit le visiteur dans les coulisses des fastueux spectacles, fêtes et cérémonies royales. (source : http://www.suite101.fr/ ). Cette exposition s’ouvre à l’occasion du tricentenaire de la mort de Jean Berain, ayant largement mis son talent au service des Menus Plaisirs. Elle présente un choix de pièces encore méconnues, et met l’accent sur les domaines où ce fonds d’archives d’origine royale se révèle une source inégalable pour l’histoire des fêtes.
Poupe du Soleil Royal par Jean Bérain
Jean Bérain père est un peintre, aquarelliste, dessinateur, graveur, ornemaniste et décorateur de théâtre français né à Saint-Mihiel le 4 juin 1640 et mort à Paris le 24 janvier 1711. Après avoir étudié avec Charles Le Brun, il est nommé à la cour de Louis XIV en 1674 comme dessinateur de la Chambre et du Cabinet du Roi. Il confectionne les costumes pour les pièces de théâtre et opéras représentés à la cour et devient le décorateur officiel de l'Académie royale de musique en 1680, succédant à Carlo Vigarani. Décédé veuf de Louise Rauhaut, à l'âge de 72 ans, dans son appartement aux galeries du Louvre, il fut inhumé en l'église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Son fils, Jean Bérain, continuera son œuvre.
Si on en croit une note publiée sur le site officiel des archives départementales du Nord, la numérisation des actes d'état-civil du nord est en cours. Le département est en train d'étudier la possibilité d'une mise en ligne courant 2011 mais ils ne semblent pas être en mesure de nous communiquer une date pour le moment :
(...) la mise en ligne de ces 4 à 5 millions d'images pose certains problèmes (capacité du serveur d'hébergement, coût de l'opération). La direction de l’Informatique départementale a été saisie et les études préalables sont en cours pour une production probable dans le courant de l’année 2011. Toutefois, il nous est impossible, à ce jour, de vous indiquer une date précise de la mise en ligne des actes. De plus il convient de préciser que cette mise en ligne se fera en plusieurs étapes.
Je ne manquerai pas de vous tenir au courant d'une prochaine mise en ligne...
Heureusement que le public n’a pas accès à tous les bâtiments des archives départementales de la Drôme. Pour des soucis de préservation, de confidentialité, mais aussi parce que c’est un véritable labyrinthe. Il est bon d’y avoir des guides passionnés. Avec les dix niveaux et les 29 kilomètres de documents, il faut être « rigoureux, méticuleux et avoir un esprit de synthèse pour être archiviste », selon Isabelle Boullay, responsable du pôle publique.
Ici, l’organisation prime. Pour qu’un document arrive dans la salle de lecture, entre les mains d’un passionné de généalogie ou d’un historien, il ne faut pas s’emmêler dans les cotes. Des rangées, du sol au plafond, de boîtes, de documents enveloppés dans du papier kraft, ceint de ficelles, ou tout simplement entreposés tels quels. C’est un “magasin”. Il y en a neuf, un par étage.
Des vieux documents qui attendent, encore, et encore...
Chaque forme de stockage est propre à son époque. Les normes d’archivage évoluent, et les 31 employés ne voient pas le bout de l’étagère. Intégrer les nouveaux documents, définir ce qui va être archivé et ce qui va être détruit, car « qui dit conserver, dit attribuer une place, et nous ne sommes pas extensibles », signale Coraline Raguin, chargée de l’action culturelle. Puis classer, mettre en boîte... Alors les documents qui ne répondent pas aux normes de classement du XX Ie siècle attendent, encore un peu, que quelqu’un s’occupe d’eux. Les archives proviennent spécifiquement des administrations du département, de l’an 1086 à 2009. Dans les magasins, il fait environ 18 degrés et l’air y est constamment renouvelé, « pour que la poussière ne se dépose pas sur les documents, c’est ce qui altère le plus le papier », explique Coraline Raguin.
Aujourd’hui, les archivistes ont opté pour des boîtes solides, ignifugées, imperméables « peut-être même résistantes au 22 long rifle » s’amuse la directrice adjointe, Alice Tosan. Mais les employées s’inquiètent de la qualité des archives actuelles, « certains services administratifs ont supprimé le papier. Ce ne sont plus que des bases de données. Nous traversons une époque charnière, nous devons imaginer le nouveau métier d’archiviste. observe Isabelle Boullay. Ce qui est certain, c’est que les historiens retrouveront la Bulle de 1086 ».
Au rez-de-chaussée, tout au fond à droite, se trouve le lumineux atelier de reliure et de restauration préventive. « Ça fait 25 ans que je suis là, j’en ai vu passer des documents. Le problème, c’est que la restauration, c’est très long. Alors on fait de la conservation préventive. On nettoie, on défroisse, pour effectuer un transfert de support. Le photographe prend des clichés pour numériser les archives non consultables ». raconte, avec une pointe de frustration dans la voix, le relieur, Catherine Journet. « Je suis frustrée d’avoir abandonné ce beau métier. Mais c’était déprimant de relier et restaurer un livre. Cela me prenait un mois, et c’était une goutte d’eau dans l’océan ». La reliure, une goutte d’eau dans l’océan
Sylvie Prezel est en renfort pour 10 mois. Avec son mini-fer à repasser, elle déplie les pages d’un vieux document.
« Depuis sept ans, nous travaillons sur la série des notaires. Le problème c’est qu’ils doivent nous transmettre leurs archives au bout de 75 ans. Les documents sont très abîmés, moisis » et se sont les plus consultés. « Nous traitons les inconsultables. Il y a 30 000 documents, nous en avons restauré 9 000... J’aime le papier. Je suis servie » !
Mais Catherine Journet s’inquiète, elle aussi, du devenir des archives. « Le papier actuel n’est pas durable, l’encre d’imprimantes encore moins. Je ne comprends pas que personne ne s’en inquiète. Nous savons que les CD et les disques durs ne sont pas fiables. Il faudrait qu’ils nous pondent un vrai support durable ! »
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