J'ai envie de me lancer un nouveau défi : un feuilleton généalogique. L'idée est simple : je vais choisir une personnalité et partir à la découverte de ses ancêtres en vous racontant les différentes démarches que j'ai effectué sous forme d'articles publiés de temps en temps sur ce blog.
Je voulais choisir une personnalité qui ait un réel intérêt généalogique et historique. J'aurais pu choisir le Prince William mais il y a sans doute des milliers de personnes qui ont eu la même idée que moi et c'est franchement pas compliqué : William, Charles, Élisabeth II, Georges VI, Georges V, Edouard VIII, Victoria,...etc. Alors quitte à parler des Anglais j'ai choisi Pierre Cambronne, et là c'est le moment que je préfère : d'un côté il y a ceux qui ont compris et qui ont un souris jusqu'aux oreilles et de l'autre il y a ceux qui ont des yeux tout ronds et se dépêchent d'aller voir sur Wikipedia de qui il s'agit. Je vais vous simplifier la tâche : Pierre Cambronne est un général d'Empire qui aurait dit « merde » aux Anglais alors qu'il commandait le dernier carré de la Vieille Garde à Waterloo le 18 juin 1815.
Portrait du général P.-J.-E. Cambronne
Sur ce, je vous donne rendez vous très bientôt pour le premier épisode de votre nouveau « feuilleton généalogique ».
Au hasard de mes recherches généalogiques, j'ai découvert un lien entre les VELU et certains DHENNIN au XIXe siècle : Il existe en effet un mariage concernant DHENNIN Catherine Rose. Elle aurait épousé VELU Alexandre (fils de Charles Antoine et HAGARD Marguerite mes sosas) le 07 novembre 1885. Cette DHENNIN Catherine Rose aurait 2 frères : Pierre D‘HENIN (né vers 1822) et D’HENIN Jean Baptiste (né vers 1825). Je me suis alors demandé si le nom DHENNIN n'était pas à rapprocher de DE HAYNIN, une famille qui trouve son origine parmi les plus grands de l'histoire (carolingien, comte de Flandres, ...etc.). Voici donc une tentative de reconstitution des familles DHENNIN de Villers-Guislain dont voici le resultat :
http://www.genealexis.fr/pdf/dhennin_vg.pdf
Bien sûr, je vous invite à vérifier les informations de ce pdf car je ne suis malheureusement pas à l'abris d'une erreur de lecture ou d'une erreur de frappe en recopiant les données (c'est ce qui fait de moi un être humain)
Nancy: Un cours pour apprendre
Plus facile d'accès grâce à internet et à la numérisation des archives, la généalogie est en train de devenir la passion des français. A Nancy, il y a même un cours pour apprendre les bonnes techniques avant de se lancer sur les traces de vos ancêtres.
C'est sur http://www.lasemaine.fr
Douai: 21e assemblée générale du CEGD
Une quarantaine de personnes ont assisté, samedi aux salles d'Anchin, à la 21e assemblée générale du Centre d'études généalogiques du Douaisis. Internet serait responsable de la baisse du nombre d’adhérents à l'association.
C'est sur http://www.lavoixdunord.fr
Brou: ils ont retrouvé une vidéo de Jean Moulin
Un film-amateur montrant Jean Moulin à un comice agricole d'Eure-et-Loir en 1939 vient d'être exhumé. Le film, tourné par un instituteur en juin 1939, a pu être retrouvé grâce à la persévérance des chercheurs de l'agence régionale Centre Images, basée à Issoudun dans l'Indre.
C'est sur http://centre.france3.fr
Partage d’archives
Le Service International de Recherches (SIR) situé à Bad Arolsen en Allemagne a remis aux Archives nationales de Paris une copie de ses archives numérisées qui concernent les victimes des persécutions nazies. Afin d’assurer à tous l’accès à ces données, les Archives ont mis en place un comité de pilotage chargé d’étudier les nouvelles possibilités ouvertes à la recherche.
C'est sur http://www.plume-mag.com
La Maison du tourisme de Sebourg (Nord) présente jusqu'au 31 mai 2011 l'exposition "20 siècles de repassage". C'est toute l'évolution du fer à repasser qui vous sera révélée.
L'exposition "20 siècles de repassage" est organisée en partenariat avec l'association Patrimoine histoire et études de repassage (PHER) de Sebourg, qui est présidée par Jean-Pierre Lenski. Elle apporte un éclairage original, historique et technique sur un objet familier, le fer à repasser, qui n'a cessé d'évoluer à travers les siècles.
La technique du repassage à eu recours a tous les matériaux (os, pierre, verre, bois, fer...) et à toutes les énergies (sable, charbon, gaz de ville, alcool à brûler, essence,...). En parcourant l'exposition, vous constaterez que le fer a repasser sec et sans fil existait dans les années 1960 et qu'un modèle à gaz à deux semelles était réversible ! Et, au délà de la technique, certains modèles sont de véritables oeuvres d'art.
Fondée en 1992, l'association PHER dispose d'une collection de quelque 2500 fers et d'un centre de documentation particulièrement riche dont la réputation dépasse les frontières du Valenciennois.
(source : Valenciennes Métropole, Le Journal)
Un ancien fer à repasser
Un ancien fer à repasser
à l'effigie des Armoiries de Paris
Un autre fer à repasser...
Un fer à repasser à charbon
de fin du XIXe (à droite)
Fer à repasser à charbon ouvert
Fer à repasser à charbon fermé
Les fers étaient d'abord chauffés...
(source photos : Wikipédia Commons)
Le fer à repasser est très ancien. Dés le 1er siècle avant Jésus-Christ, les chinois utilisaient des casseroles en métal qu'ils remplissaient de charbons de bois. Les "casseroles" étaient alors utilisées pour lisser les tissus. En Europe, il faut attendre le XVIIe siècle pour voir apparaître les premiers outils triangulaires en fonte. Ils étaient alors munis d'une poignée et chauffés par le feu. Ensuite, on utilisa une technique qui n'est pas sans rappeler celle des chinois de l'antiquité: les fers étaient des boîtes en fer que l'on remplissait avec des charbons chauds. Les fers étaient fabriqués à la main par des taillandiers qui forgeaient et ajustaient les éléments métalliques.
L'invention du fer à résistance électrique est attribuée à Henry W. Seely de New York en 1882. La même année, un fer utilisant un arc de carbone a été présenté en France, mais il fut jugé trop dangereux. Le premier fer utilisant un thermostat est apparu dans lesannées 1920.
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