Au début de ce mois, j'ai testé la fonction Filiatus présente dans Heredis 11. Tout d'abord, j'ai généré des pages qui présente mes sosas génération après génération. J'y ai également ajouté une préface et fait des petites modifications afin d'en étoffer le contenu. Pour un premier essai je dois avouer que je suis plutôt satisfait du résultat, peut-être que j'ai enfin trouvé un moyen simple de présenter mes recherches à des personnes qui ne sont pas forcement familières des méthodes employées par les généalogistes. Cependant, depuis que j'ai terminé cette "Histoire et Généalogie de la Famille Amand et de ses Alliances" (en attendant une mise à jour), il y a quelque chose qui me trotte dans la tête : Qu'adviendra t-il de mes recherches quand je ne serais plus là ?
Pour l'instant je n'ai pas de descendants, mais en supposant qu'il y en ait un jour, que feront-ils des documents généalogiques qu'ils trouveront à mon domicile après ma mort ? Soit ils garderont tout dans des caisses au fond d'un grenier en souvenir de leur papa, soit ils mettront tout à la poubelle, faute d'avoir compris le besoin que j'avais eu de partir à la découverte de mes ancêtres. Peut-être que certains vont me répondre : "tu t'en moques, tu fais ça pour toi pas pour les autres". C'est vrai que, même si en généalogie le partage est maître, je ne fais pas mes recherches pour les autres (je parle du recopiage de mes recherches). Je n'ai pas non plus envie que quelqu'un tombe un jour sur mes documents et se contente de tout recopier pour gonfler un peu sa généalogie. Il y a quelques années, j'ai rencontré un généalogiste à l'AGFH (une asso locale), il m'a expliqué qu'il a fait de nécessaire pour qu'à sa mort, ses recherches soient déposées aux AD et à l'association. Pour être honnête avec vous, je m'imagine mal débarquer aux archives départementales et leurs dire : "Coucou ! Je viens déposer mes recherches chez vous !". A moins de tout mettre en ligne chez des professionnels comme Geneanet mais existeront-ils encore dans 30, 40 ou 50 ans ?
Alors voilà.... c'est la question que je me pose depuis quelques semaines, au risque d'en faire rire certains qui vont penser que j'ai le temps de voir venir. Je profite cet article pour vous retourner la question : Qu'adviendra t-il de vos recherches quand vous ne serez plus là ?
C'est un record du monde défiant toutes les lois de la physique qui a lieu dans la ville de Livermore (en Californie, Etats-Unis). Une ampoule de plus d'un siècle continue encore et toujours de fonctionner dans la caserne des pompiers. Le Livre des Records lui a décerné le titre «d'ampoule de travail la plus âgée au monde.» Cette centenaire, qui n'a pas pris une ride, n'a jamais cessé de briller depuis 1901, à part une semaine en 1937 et quelques coupures de courant entre cette date et 1976. Depuis, l'ampoule éclaire continuellement les différentes générations de soldats du feu. «C'est une ampoule de 60 watts et elle fonctionne seulement sous une tension d'environ quatre watts, mais personne ne sait pourquoi elle continue aujourd'hui de brûler», déclare Lynn Owens, président du comité du centenaire de l'ampoule municipale.
Les scientifiques eux aussi sont intrigués par cette énigme, mais ne trouvent pour l'instant aucune solution raisonnée. De plus, il leur est impossible d'approcher l'objet : depuis l'officialisation du record, il est strictement défendu de la toucher ! L'ampoule est devenue une attraction touristique incontournable, qui devrait attirer encore plus de monde avec l'officialisation de ce record. Pour ceux qui ont envie d'en savoir plus, l'ampoule centenaire (comme ils l'appellent) dispose d'un site officiel. Il nous reste qu'à espérer qu'elle brillera encore de nombreuses années.
Certaines personnes estiment que cette ampoule est une preuve que celles que l'on vend aujourd'hui dans le commerce sont étudiées pour avoir une durée de vie limitée...
Dans le cadre de l’opération Patrimoine[s] écrit[s] en Bourgogne, les Archives départementales proposent de juin à septembre 2011 quatre visites guidées. Pour la première visite, le rendez-vous est fixé le mardi 21 juin 2011 à 10h30, place des Carmélites à Mâcon. Chaque visite vous donnera accès aux magasins de conservation et exceptionnellement à l’atelier de restauration. Une sélection de documents allant de la charte médiévale à l’affiche de propagande en passant par l’acte d’état-civil, vous fera découvrir la richesse et la diversité des fonds conservés aux Archives départementales. Attention : l’inscription et la réservation sont obligatoires !
Voici les dates des prochaines visites :
Depuis longtemps, je suis passionné par l'antiquité. Rassurez vous, je ne vais pas vous raconter comment je me suis relié à Alexandre le Grand... J'ai eu trop de remarques sur le fait que j'ai pu me relier à Charlemagne...
Je vais plutôt vous parler d'un livre que je suis en train de lire : "Le tombeau d'Alexandre" par Valerio Manfredi. S’appuyant sur les récits antiques de Plutarque comme de Diodoro, l’auteur nous livre une passionnante reconstitution historique de l’époque. Il entraîne le lecteur dans un périple haletant qui commence dans la chaleur de Babylone où Alexandre meurt en 323 avant Jésus-Christ, à l’âge de 33 ans, de retour d’Inde. Les avis sur le lieu où se trouverait le mausolée d’Alexandre divergent. Selon Diodoro, un sarcophage en or massif martelé, cerclé de quatre sangles, tiré par des mules, aurait transporté son corps jusqu’à l’oasis de Siwa, dans le désert égyptien. Pour Pausania, sa sépulture se trouverait à Ege, en Macédoine. Selon Ptolémée, compagnon de route d’Alexandre, il aurait été inhumé à Alexandrie. Une partie de la ville ayant été immergée, le monument pourrait se trouver là. Ce livre d’histoire, qui se lit comme un roman, est fondé sur des données rigoureusement scientifiques.
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Je n'ai aucune parenté avec Alexandre... (rires) mais à titre d'information, voici la ligne agnatique d'Alexandre le Grand qui commence avec Amyntas Ier qui est le premier roi de Macédoine qui nous soit réellement connu, en particulier par les auteurs antiques comme Hérodote (VII, 94), Thucydide et Pausanias.
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