L'article d'aujourd'hui se résume à une simple image. A premier abord, elle peut paraitre totalement hors sujet puisqu'elle traite ni d'histoire, ni de généalogie. Pourtant, comme les cartes postales anciennes, elle peut presque servir à raconter l'histoire de toute une génération. Une génération qui a grandi avec une bande d'animateurs qui lui faisait découvrir le monde: Le Club Dorothée. Si vous êtes observateurs, vous aurez remarqué qu'une erreur de frappe a fait du Club Dorothée nos Expendables à nous. (L'image est extraite du Télé Z n°1698 page 49)
Au cours de mes recherches, j’ai rencontré toutes sortes d’individus, ayant exercé toutes sortes de métiers. Parmi eux, Théodore DRUART, qui est né le 22 juillet 1847 dans un village belge répondant au nom de Stambruges, était marchand de sable. Théodore est le fils d’Albert (boucher) et de Marie Rosalie MASSART (journalière), tout deux originaires de Stambruges. Théodore n’est pas un de mes ancêtres, mais ce que nous appelons un « collatéral ». En clair, il s’agit qu’une personne qui n’est ni un ascendant, ni un descendant. Par exemple, votre cousin ou votre neveux sont des collatéraux.
Nous connaissons tous l’histoire du marchand de sable. Dans la culture occidentale, c’est un personnage fabuleux qui laisse tomber du sable sur les yeux des gens pour les endormir. Dans de multiples langues, les ouvrages de référence ne paraissent pas fixés quant au caractère unique ou multiple du marchand de sable. Mais elle a aussi été combinée avec une expression : avoir du sable sous les yeux utilisée au XVIIIe siècle.
Plus prêt de nous, Le Petit Campenaire nous racontait en octobre 1994 comment certains gamins de familles pauvres vendaient du sable blanc extrait de la Garenne.
Dimanche 8 mars 2015, nous célébrons la Journée internationale de la femme. Si c’est aujourd’hui un rendez-vous traditionnel, il n’en a pas été toujours de même. C’est peu de temps avant la Première Guerre Mondiale que l’on en entend parler pour la première fois. Trouvant son origine dans les mouvements ouvriers, cette journée s’inscrit dans un long processus d’émancipation de la femme et de reconnaissance de ses droits.
Des suffragettes vers 1910
Leurs revendications ? Le droit de vote, le droit au travail et la fin des discriminations au travail ! 1945, les Nations Unies signent, à San Francisco, une charte pour « proclamer l’égalité des sexes en tant que droit fondamental de la personne humaine » et par conséquent promouvoir et protéger l’égalité des droits des femmes. Les Françaises accèdent enfin alors (soit plus de 30 ans après d’autres pays européens) aux bureaux de vote. La Journée internationale de la femme s’instaure dès lors dans la tradition. Elle est reconnue officiellement en 1977. En France, sa reconnaissance législative date de 1982.
Chaque année, cette journée célèbre les actes de courage et de détermination de femmes ordinaires qui ont joué un rôle important dans l’histoire des droits des femmes et rappelle les pouvoirs publics et la société civile à l’urgence d’une plus juste prise en compte de leurs aspirations.
(Source : Horizons n°2 de mars 2015, mensuel distribué gratuitement aux habitants de la Porte du Hainaut. )
Je ne suis pas vraiment tourné vers la religion, pourtant j’ai toujours eu beaucoup de respect pour celle-ci. Par exemple, quand je rentre dans une église pour la visiter, j’essaie de ne pas faire trop de bruit pour ne pas déranger les personnes qui prient, je ne m’approche pas de l’autel si la petite lumière rouge est allumée car un curé normand m’a dit une fois que c’était le signe qu’ « il » était là. De la même façon, j’ai toujours pensé que les religieux, qu’ils soient curés, moines ou encore abbés, étaient des personnes honnêtes qui respectent la loi et surtout évitent les problèmes, bref, des personnes intègres. Aujourd’hui, je vous propose un article issu du journal « La Lanterne » du 19 septembre 1886. On y rencontre Dubin, curé de Wargnies-le-Grand, un village de l’Avesnois où j’ai grandi.
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Quelques jours plus tard, le 03 octobre 1886, la Lanterne de Boquillon, nous raconte la même chose mais vu sous un angle… un peu différent. Normal vous me direz, il s’agit d’un journal satirique.
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