Ceux qui ont des ancêtres ayants vécu dans le quartier Monsville de Quaregnon (Belgique) seront surement ravis d'apprendre que les travaux de réhabilitation de l'ancienne Maison de Peuple de Monsville ont reçu un énorme coup de pouce. La région Wallone octroyé une subvention d'un million d'euros en vue de la rénovation urbaine du quartier, soit une somme qui couvrira 90% du montant total des travaux.
Si, comme beaucoup de généalogistes, vous utilisez la méthode de Sosa pour numéroter vos ancêtres, alors vous savez sans doute que si le numéro de votre ancêtre est pair c’est un homme sinon c’est une femme. Vous savez sans doute aussi que si un individu porte le numéro N, alors son père sera le numéro 2xN et sa mère le 2xN+1.
« Pfff… Oui… on sait déjà tout ça… »
Ok, mais savez-vous qu’il existe aussi un moyen de trouver à quelle génération appartient un individu ? L’idée est de trouver la puissance de 2 la plus grande inférieure au numéro de l’ancêtre. Par exemple, si la personne porte le numéro 345, la plus grande puissance de 2 inférieure est 256, soir 2^8. L’ancêtre appartient donc à la 8e génération.
« Humm, tu es sur de ton truc ? C’est pas très clair comme explication. »
Oui, je sais c’est pour ça que j’ai trouvé une méthode qui utilise la liste des puissances de 2. Si vous ne savez pas ce qu’est une puissance de 2, c’est simple vous partez de 1 et vous multipliez par 2 à chaque fois : 1, 2, 4, 8, 16, 32, 64, 128, … etc. On obtient ce tableau :
Génération |
0 |
1 |
2 |
3 |
4 |
5 |
6 |
7 |
8 |
9 |
10 |
Puissances de 2 |
1 |
2 |
4 |
8 |
16 |
32 |
64 |
128 |
256 |
512 |
1024 |
« Beurk… des mathématiques ! »
Mais non pas du tout ! C’est très simple. Si on reste avec notre exemple de l’individu n°345, il est situé entre 256 et 512. Il appartient donc à la génération n°8. Votre grand-père paternel, qui porte le n°4 (le père de votre père), est situé entre 4 et 8, il appartient donc à la génération n°2. Son épouse qui porte le n°5, est située entre 4 et 8, elle appartient donc aussi à la génération n°2.
Je pense qu’avec un peu d’entrainement, vous pourrez comprendre le mécanisme.
Il y a quelques mois, sur un forum d’informatique, un internaute m’a dit que mon site est cool (vive moi) mais il n’a pas trouvé les informations qui concernent mes recherches généalogiques. De vous à moi, il suffit de cliquer sur « ma généalogie » dans le menu, peut-être que c’est peut-être un internaute pas très doué. Je tiens cependant à lui dédicacer cet article qui est consacré au frère de l’un de mes ancêtres qui fut un héros du 66e régiment d’infanterie de ligne. C’est la première fois que je m’essaie à l’écriture d’une mini-biographie, j’espère que je serais à la hauteur.
Jean-Baptiste Fulgence BALTAZART est né le dimanche 1 janvier 1775 à Grandpré, une petite commune rurale située dans les Ardennes à quelques kilomètres de Vouziers. Il est le fils légitime de Jean-Baptiste, un ouvrier, et de son épouse Marie Marguerite GAYET. Jean-Baptiste commence sa carrière militaire comme réquisitionnaire à 18 ans, le 23 aout 1793 lorsqu’il rejoint le 5e Bataillon de Seine et Oise à Sedan, Bataillon qui deviendra quelques années plus tard la 109e demi-brigade qui sera elle-même intégrée au 21e Régiment d'Infanterie de ligne par la suite.
A peine enrôlé, le voilà parti pour 10 ans de campagne en Prusse. Il passera successivement du grade de caporal (Le 24 thermidor an XI) à celui de sergent (le 30 vendémiaire an XI). Il participe aussi aux batailles de la Stockach (le 3 floréal an VIII) et de Feldkirch (2 germinal an VII) en Allemagne, durant lesquelles il est blessé de plusieurs coups de feu et de sabre. Il est fait prisonnier par les autrichiens le 3 floréal an VIII avant d’être libéré le 15 brumaire an IX.
Le 12 pluviôse an XIII, Il est transféré au 66e Régiment d'Infanterie Légère où il deviendra sous-lieutenant « porte-aigle » le 29 avril 1811. Le porte-aigle, officier qui dans les armées de l'empire français portait l'aigle du régiment, avait été créé par un décret impérial du 18 février 1808.
Le 22 juillet 1812, Pendant la bataille des Arapiles, appelée bataille de Salamanque par les britanniques, qui voit s’affronter français, portugais, espagnols et britanniques, il est foulé au pied par la cavalerie anglaise mais réussi tout de même à sauver l'aigle du 66e régiment d'infanterie de ligne et reçoit pour cette action la légion d'honneur. Il terminera sa carrière en devenant lieutenant « porte-aigle » au 66e Régiment d'Infanterie de ligne le 17 juillet 1813, puis capitaine « porte-aigle » dans le même régiment le 26 octobre 1813.
Jean-Baptiste prend sa retraite le 20 juillet 1814, à l'âge de 39 ans à cause des diverses blessures qui lui ont causé des infirmités et se retire à Grandpré.
Des chercheurs Britanniques ont récemment mis au point un examen ADN permettant de détecter le gène de la rousseur. Cette innovation sera présentée lors des prochaines rencontres européennes généalogiques qui se tiendra dans une quinzaine de jours à Londres.
On peut en effet être porteur du gène sans avoir les cheveux roux soi-même. Les personnes ayant cette particularité génétique ont le teint clair, la peau couverte de taches de rousseur et/ou les cheveux roux. Proposé aux couples qui attendent un enfant, ce test salivaire pourra donc prédire si le futur bébé a une chance d’être rouquin. « Même s’ils n’ont pas eux-mêmes le cheveux roux, si une porteuse de ce gêne fait un enfant avec un conjoint qui est porteur du même gêne, alors ils peuvent avoir la surprise d’avoir un bébé roux », explique Dr Jim Wilson qui a coordonné le projet. Mais ce test permettrait surtout de mieux connaître le gêne MC1R, responsable de la rousseur. Des travaux ont montré que les personnes qui en sont porteuses sont plus sujettes à divers infections et maladies comme le cancer de la peau, la maladie de Parkinson. C’est dans le nord de l’Europe qu’on trouve le plus de personnes rousses. L'Ecosse est le pays qui détient le record dans le monde avec 13 % de la population qui a les cheveux roux. L'Irlande vient en seconde place avec une proportion de 10 % et un taux de porteurs du gène d’environ 40 %. Au Danemark, une banque de sperme a d’ailleurs décidé en 2011 de ne plus accepter les donneurs aux cheveux roux. La raison ? Il y en fait trop d'offres par rapport à la demande. En France, les roux représentent 5 % de la population.
(source: http://www.infobebes.com)
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